Pas de temps pour aimer, que le temps est amer
No time for love, c'est ta prose qui est amère,
Dans les abysses de ma haine, l'amour n'est rien sans le temps,
dans les profondeurs du temps, l'amour n'est rien sans ma haine.

Je te promets qu'un jour, ô journées éphémères,
Je bannirai le temps, pour en bâtir un autre, plus grand.
Ces vers sont ta prose, ô tristesse absurde,
Que les vers les dégustent, je les en conjures.

C'est la fin de ce poème, la fin d'une tragédie,
Dans ce monde grotesque, c'est ma fin, c'est fini,
ou presque, il reste six temps, six temps à vivre ce tourment.

Il ne me reste plus qu'à compter, qu'à compter les larmes
que chaque seconde je vois couler
Couler lentement, Sans que la mort ne vienne
cinq.